Barr 2014

Pour ce déplacement, Christophe, Jo, Régis, Yann, Mitch, Gille, Alex

Damien Momo et Moussa, une équipe loisir totalement renouvelée.

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La roue tourne, les + anciens de l’équipe ont failli Momo nous représente

Encore tant bien que mal avant de basculer inévitablement dans l’oubli

1^er match Samedi 07 joint 11h00 face à Barr

Malgré l’heure très mal choisie ou très bien selon l’endroit où l’on se trouve

Autour d’un Bar pour l’ apéro ou sur un parquet de Barr pour un match.

La soif aidant, les loisirs montrent les dents et croquent dans cette rencontre

Avec la pression suffisante et sans faire trop de mousse ils additionnent les paniers

Avec panache qui en outre ils ne boivent pas.

Les Alsaciens, tente bien par des relents de stopper la tireuse puisque avec le tireur

ça ne veut plus rien dire, d’enrayer des mosellans qui se collent à l’idée, et Jo n’y croyait pas

vraiment à une fusion de l’Alsace et la Lorraine.

Il n’en est pas moins, que dans ce duel la victoire ne peut se partager et c’est la Lorraine

Avec ses grands Sabot qui botte le cul des Alsaciens au point qu’il en tombe à chaque fois

une grappe de raisin qui est immédiatement pressé, rien ne se perd en Alsace tout finit dans un verre

le tableau d’affichage annonçait une large victoire pour Sarrebourg de bonne augure pour la suite

les vieux routiers du basket savent l’importance du premier match dans un tournoi sur 2 jours de surcroît

Second Match : 16h00 face à l’équipe Belge

Dans le plat pays où l’on trouve plus de trappistes qu’en Alsace de Manneken-Pis, encore que selon l’heure derrière le Barr on peut voir tous les Mann qui pissent et qui reboivent encore dans ce contexte de tournoi ou de tournée que long soit sur un parquet de Bar ou de Barr.

Les Mosellans, élevées au naturel et au vin de groseille en avaient encore sous la semelle et ça n’est pas l’amplitude de 5 heures entre les 2 rencontres dans laquelle les uns ont retrouvés des forces vives dans le Picon les autres dans le Kaefferkopf qui ont bouleversé l’inexorable marche en avant d’une équipe Sarrebourgeoise qui n’a de bourgeois qu’un cochon qui passait par là.

Requinqué par plusieurs hectolitres des divers breuvage proposé a Barr, Sarrebourg rentrent tambour battant dans ce second match et joue d’une manière, comment dire, psychédélique pendant que dans leurs têtes les Doors entonnent Ried’ers on the Storm, le reste de leur corps est dans une harmonie parfaite et c’est sur un nuage comme dans un tableau de Pierre Lauer, que la balle circule pour finir son plaisir dans son orifice . Second mach gagné on passe en ½ .

Final

La fermentation faisant son petit effet, les bouteilles vides laissent la place aux bidons plein c’est entre deux rots et un pet que se joue cette finale.

Les gaz au maximum la bouche ouverte une auréole de pipi sur le short, une autre de pizza sur le maillot il planait au-dessus du parquet un nuage gris qui n’est pas sans rappeler la pollution de Mexico. L’équipe d’Antibes méduse ou plutôt médusé par le spectacle portait une tenue jaune / orange qui rend la pisse et la pizza indétectable et c’est proprement qui nous l’ont mis la pâtée j’entends.

Sarrebourg est prêt à remettre le couvert l’année prochaine.

Parallèlement c’est déroulé a Barr organisé par Franck Provost la Fashion Head, ou s’entremêle les coiffures les plus tendances du moment, les melons, et autres chignons sont restés coi devant la splendeur de la banane de Moussa Elvis lui-même en serait jaloux .