toi mon frère 'entrainement du 12 11 10
Vendredi 12 novembre 2010
Je suis arrivé un peu après 19 heures, dans un gymnase noir de monde, j'ai cru un instant que nous étions 69 pour un basket érectile et prometteur, mais a cette heure
Traînent encore ici et la des benjamins qui font patienter leurs parents le temps de rechercher La paire de basket égaré.
Quand les mioches eurent regagnés leurs pénates il restait tout de même 21 joueurs
11 vieux pour 10 jeunes
Les loisirs : Alex/Tony/Coco bel Œil/Pascal I/ Moussa/Damien/Momo/Joël/lulu et un
Nouveau dont je ne connais pas le nom mais que nous appellerons le C.P non pas en référence a l'école primaire mais au center parc d'où il vient.
Il est 19h25 lorsque le matck demarre, le temps de jeu restant 50 minutes
Je prends ma place sur le banc laissant aux basketteurs, les vrais, le soin de débuter
Bien entendu, nous ne sommes pas a la boxe, il n'y a donc pas de round d'observation
Et le jeu passe d'un camp à l'autre sans interruption, un jeu de jeunes pour les jeunes
Et à ce petit jeu on se brûle un peu.
A ce rythme, les loisirs aspirent a une nouvelle jeunesse qui un peu nous délaisse et
Au fil des soirées, on s'aperçoit que les anciens fidèles à leur Fairplay reconnu et primé à GRAVELINES continuent en l'absence d'un arbitre d'annoncer leurs fautes personnelles
Et on se retrouve avec 30 fautes du côté des vieux pour 1 annoncé a demi mots du côté des jeunes, c'est positif de voir un score a notre avantage.
Ca rassure.
La situation s'envenime, des voix s'élèvent, là c'est une faute mon gars, et puis marchéééééééééé. La révolte se dessine, les gestes indélicats vont accompagnés les mots
Et les maux vont surgir. La tolérance arrive à son échéance les plus doux d'entre nous
Se rebiffent mais
A qui la faute ? Pas a mon père, pas a ma mère tu aurais pu écrire cela
toi le frère que je n'ai jamais eu
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