Pagaille de début de saison
Pagaille de début de saison
Pour le 1er entrainement du jeudi soir 20h30 nous nous sommes retrouvé devant une salle occupée par des seniors filles
Alors que ce créneau nous est fraîchement attribué sans notre approbation d’ailleurs.
La plupart d’entre nous préférant le Vendredi soir.
Une petite pagaille de début de saison qui nous a passablement perturbées.
Les filles n’étaient pas là de leurs propres imitatives mais c’est bien parce qu’il leurs a été confirmé quelle pouvaient le faire.
A moins bien sur qu’elles sont venues pour le charme d’Eugène
Après quelques palabres, les filles ont quittés le terrain si j’osais je dirais la queue entre les jambes mais toujours avec le sourire
Ce prélude terminé nous avons pu commencer notre symphonie jouée par les 9 basketteurs présents
Tony / Fourmi / Alex / Eugène et moi pour représenter la Colas
Kamess / Moussa / Coco bel Œil et Joël nos adversaires de du soir :
Un déséquilibre évident entre ces deux formations, laissé planer le spectre de la défaite.
21 heures, la, balle au centre pour enfin entamer notre partition
Joué en 3 actes de 20 comme d’habitude.
Dans ce 1er acte
Comme nous avions un déficit évident de meneur, j’ai eu le privilège du chef d’orchestre,, la note donnée pour cette soirée
Nous avions démarré tambour battant. Par un jeu collectif, des passes dans les quatre coins du rectangle avec la frivolité des 4 saisons de Vivaldi, la légèreté ou plutôt l’aisance de notre jeu
Interdisait la critique, oui nous jouions mal mais c’était beau.
La belle saison se finissait dans un déchirement pour la Colas
Nos adversaires arrachaient cet acte par le score de 21 à 15.
2ème Acte
La baguette entre mes doigts a la peau durci par le béton, je me suis dit, ce jeudi, j’en fais quoi de ma baguette, je la plante dans le cul d’Amadeus Mozart, mais je la montre au boulanger qui dans ses miches me fait des moues admiratives.
Soudain, l’idée m’envahit, évidente, les cuivres mais oui, fait intervenir les cuivres eux seuls te sortiront de la spirale de la défaite. La victoire t’ouvre ses bras, la GAGNE.
La trompette sonnait la charge, ce qui a réveillait notre ami Fourmi qui avait été discret jusqu’à là.
Au rythme tonitruant des trombones, la Colas reprenait les choses en mains pour s’octroyer ce 2ème acte par 21 a 16
Dans le 3ème et dernier acte, la musique s’est arrêté, la Colas a Sombré
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